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L'Homme est pris dans une guerre qu'il ne peut voir, qu'il ne pourrait comprendre, et à laquelle il ne saurait prendre part.
 
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 Souny Durocher

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Souny Durocher

Souny Durocher


Messages : 226
Date d'inscription : 09/05/2010

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MessageSujet: Souny Durocher   Souny Durocher Icon_minitimeMer 12 Mai - 23:41


I walk alone
Every step I take
I walk alone


Souny Durocher

Âge : 24 ans
Date de naissance: 15 juillet 1986
Nationalité : Française
Sexe : F.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.
Race : Hybride.
Statut civil : Célibataire.
Situation professionnelle : Serveuse dans un restaurant. Couturière à la maison.

Souny Durocher Msysz


Souny Durocher 8xlai8


Arme(s) : Souny peut très bien se défendre elle-même, ayant appris la boxe et quelques tactiques d’auto-défense efficaces. Toutefois, si une situation tournait au vinaigre, Souny traîne sur elle une bonbonne de poivre de Cayenne.

Animal de compagnie : Occasionnellement, un Hybride raton-laveur malodorant prénommé Dylan squatte son appartement. Parfois, quelques corbeaux viennent élire domicile sur les rebords de ses fenêtres.

Pouvoirs :

Le cri strident du corbeau.
La démarche disgracieuse et chaloupée du corbeau.
Les plumes du corbeau qui poussent dans sa chevelure en bataille.
Sa capacité à comprendre intuitivement ce que désirent les corbeaux.
Les corbeaux, pour la plupart, la considèrent comme un membre de leur race, seulement ils sentent que quelque chose cloche. Ils l’observèrent donc de leurs petits yeux fixes et stupides.

Description physique :

« Je ressemble pas tellement à ma mère. » Rectification, Souny, tu es à l’opposé même de ta mère, sur tous les aspects physiques et psychologiques, voire même dans les réussites et les échecs amoureux et professionnels. Alors que Sexy M’an, alias Sophie Durocher, est grande, slim, blonde et outrageusement magnifique, tu es plutôt petite, ne dépassent pas le cinq pieds deux ou trois, et ronde. « J’suis pas une grosse truie, quand même. » Tu interprètes tout de travers, encore une fois. Je disais que tu étais ronde, non obèse. Ronde et ferme, cela te convient-il? Tes cuisses ne sont pas minuscules, elles sont fortes, mais sensuelles car tu sais les manier et les mettre en valeur. Ton ventre n’est peut-être pas aussi plat que celui de Sexy M’an ; il a ce renflement caractéristique de toutes les femmes, cette forme suggérant le mécanisme de la vie à l’intérieur de ton corps, dans ton ventre. Seulement, il est inerte, inactif, inutile. Tes membres sont taillés à force d’entraînements de rugby et de boxe, et de tes soirées dépensées dans les raves. « Les mecs, ça trippe pas sur les muscles, juste sur les pitounes anorexiques. » Peut-être que oui, peut-être que non. Tu sembles avoir un certain succès, autant chez les hommes que chez les femmes. « T’as vu la paire de nénés que Dieu m’a donnée? » Difficile de faire autrement, ils sont si… impressionnants. Ta façon de les comprimer, de les écraser grâce à un corset rudement serré les font jaillir littéralement de ta gorge. Une poitrine si opulente, si offerte, si pâle. Et regarde un peu tes hanches, si prononcées, si attirantes et si invitantes. Tout homme désirerait s’agripper à elles. « Y disent tous que j’ai de la poigne. » Tes cheveux peuvent compléter l’argument. Voilà une véritable tignasse noire. Les as-tu seulement déjà brossés un jour? Il y a, je crois, des boucles hirsutes, de longues mèches ébouriffées et… Cette crinière effroyable balaie le haut de ton postérieur si rebondi, si délicieusement envoûtant. « La coiffure, c’est pour cacher les plumes. La teinture aussi, avant j’étais blonde. Comme la mère. Mais ya fallu que les plumes noires poussent pis que Sexy M’an me teigne. » Le noir te va bien. Il sied à ton visage. À tes yeux turquoise soulignés de noir. À tes pommettes tentantes, à ta bouche rosée dont la lèvre inférieure est traversée, en son milieu, d’un anneau argenté.

Description psychologique :

Souny aime… le luxe, la richesse, les belles parures, les pierres précieuses, les bijoux, les beaux mâles qu’elle parvient à jeter dans son lit. Malheureusement, hormis les mâles, la vie lui offre peu, ce qui la désole. Elle pourrait bien séduire un vieillard richissime à la machine dysfonctionnelle, mais l’idée de se donner ainsi lui déplait terriblement. Souny aime les hommes, surtout leur physionomie, mais elle refuse de se remettre à l’un d’entre eux. Appelez cela orgueil féminin si vous le désirez. La jeune fille aime jouer avec les mâles, raffole de désir qui brille dans leurs prunelles lorsqu’elle les aguiche effrontément et sans miséricorde, et partage ses nuits avec eux, mais rien de plus. Les relations amoureuses à long terme ne sont pas son fort. En fait, aimer pour elle signifie la dépendance à quelqu’un, aimer n’est qu’un sentiment inventé par les écrivains. Elle ne croit pas en l’amour, car sa mère l’a abandonnée, car les hommes envers qui elle éprouvait une émotion sincère l’ont tous déçue et quittée. D’ailleurs, empiler conquêtes sur conquêtes la satisfait plus que de posséder un amoureux stable.

Outre ses opinions sur les sentiments, Souny est une fille enjouée, éternellement jeune dans sa pensée et dans ses actes. Elle aime rigoler, plaisanter, raconter des salaces, être le centre d’attention du monde, danser, fêter, boire et baiser. En apparence, elle semble bien quoiqu’immature et énervante avec ses croassements aigus et sa langue acérée, mais elle se sent seule, inutile comme l’est l’utérus en panne dans son ventre. Ces sentiments la rendent folle de colère, souvent impulsive et incontrôlable, voire invivable. Elle ne regarde le futur qu’avec amertume et déception, sachant pertinemment qu’il n’est pas fait pour elle et qu’un jour ou l’autre, elle deviendra un corbeau à part entière. Ses rêves et ses ambitions ne resteront que des rêves dans le placard : elle n’ouvrira jamais une boutique de vêtements, elle n’aura jamais d’enfants, elle n’aura jamais le pardon de sa mère pour ce qu’elle est, elle n’aura jamais une vie normale. Alors, elle profite de l’instant présent. Souny ne sera qu’une Hybride malchanceuse, cible de tous les ennuis.


Histoire/Biographie :

« On va dire que j’l’ai pas eu facile, la vie. » En effet, depuis l’apparition soudaine et mystérieuse de tes plumes noires dans ta somptueuse chevelure blonde, tu joues de malchance. Probablement que peu d’hybrides peuvent se vanter d’apporter autant la poisse à soi-même et à tout ce qui les entoure. « J’suis comme une malédiction? » Ou plutôt qu’une malédiction plane au-dessus de ta tête, et ce, depuis ta naissance.

La grossesse de ta mère a sans douté été l’épreuve la plus épouvantable qu’elle ait dû supporter. Les douleurs, les nausées, les contractions, un accouchement long et pénible que même l’équipement médical ne parvenait pas à accélérer. À cause de toi, son joli ventre a porté une longue balafre rosée qui marquait l’endroit par où tu as surgi. « Y paraît que ch’était une adorable gosse. » Il paraîtrait que ton sale caractère baveux est survenu durant ton adolescence mouvementée. Enfant, tu étais mignonne dans les petites robes roses que ta mère te procurait, avec tes grands yeux bleus stupéfaits et curieux et tes belles boucles blondes qui encadraient parfaitement ton visage de porcelaine. « Mes vieux m’disaient que j’allais en briser des cœurs plus tard. » Ce qui s’est avéré vrai, en vérité. Seulement, pas exactement dans le sens qu’il conviendrait de le croire. Tu as brisé le cœur de ta famille, tu es devenue la risée et la honte de ce monde dans lequel tu vivais si confortablement. Tu étais une hybride.

« Y m’ont rejeté. Y me regardaient comme si j’étais le monstre de Frankenstein. Pis pas question de se toucher, j’étais pire qu’une lépreuse contagieuse à leurs yeux. » Tu leur inspirais le dégoût et le mépris. Comment pouvaient-ils accepter une telle tragédie, un tel destin funeste? Une hybride dans une famille aussi réputée, aussi populaire. Il fallait remédier à la situation, et en vitesse, avant qu’un individu ne découvre l’effroyable vérité. Alors ta mère, la personne envers qui tu avais tant de respect et tant d’amour, pendant un souper avec le père et le frère, a décidé qu’il était temps pour toi de prendre les voiles, la poudre d’escampette. « A m’a dit que j’étais une erreur, que j’aurais pas dû exister, que ma place n’était avec eux, dans cette famille, mais dehors avec les autres animaux. Le père et le frère approuvaient avec de grands hochements de tête alors que Sexy M’an demeurait froide comme de la glace. » Tu n’as pas compris immédiatement que tu étais rejetée, mise à la porte. Pourtant, de façon mécanique, tu es montée dans ta chambre et tu as fait tes valises, sans protester, sans pleurer, sans parler. « Mon cerveau était trop vide. Je réalisais pas encore. Même quand la mère a refermé sèchement la porte derrière moi. J’ai pas réalisé. C’est quand j’ai dû me trouver un nid pour la nuit que là… tout est devenu trop clair. Cette nuit-là, j’suis allée dans une ruelle humide pour dormir. J’ai failli m’faire violer. » Et tu as commencé à détester ta mère. « Au début, c’était de la haine, après ça changé. C’est devenu de la colère. Une grosse colère. »

Tu as réussi à te sortir de la rue. Évidemment, tu as dû faire un peu de prostitution pour pouvoir te payer à manger. « Ouais, sauf que l’un de mes clients était lui aussi un hybride. Un type tortue. Deux grands yeux morts, un corps mou qui se déplaçait au ralenti. Il m’a pris en pitié pis m’a amenée au centre sportif de Russel. Là, j’ai eu assez d’aide pour me trouver un boulot comme serveuse dans un p’tit resto où la clientèle est majoritairement masculine et le personnel féminin. » Tu oublies de mentionner qu’avec tes seize ans, il t’était presque impossible d’être engagée, mais tu as eu le poste. Le patron, Gills Flaubert, te tenait à l’œil : autant parce que les clients pourraient être encouragés par ta volumineuse poitrine autant parce qu’il ne te faisait pas confiance. « Mais j’suis encore là, après huit ans. Bon, j’ai eu tout plein de tis boulots pour arrondir mes fins de mois, mais sinon j’suis toujours restée là. » Tu louais un appartement miteux dans un coin miteux de Paris. Tes voisins étaient des individus sympathiques quoique méfiants, mais ils ont tous succombé au charme irrésistible de tes atouts prodigieux. Un jour, l’une de tes amies t’a offert d’apprendre la couture. « Ouais, c’est mon deuxième gagne-pain. Je fais des croquis à l’appart, je confectionne des vêtements, j’ai comme une agence personnelle. Ma carte d’affaires est distribuée partout en ville, pis on me call pour quelques commandes. »

À vingt-ans, tu as rencontré Alec Bernache, musicien dans un groupe de rock progressif. C’était un bel homme au tempérament changeant, éblouissant de charisme et de fierté. Il arborait fièrement son manteau de cuir rapiécé, ses jeans troués, ses chandails fripés. « C’était fort avec lui. Ben ben fort. Sa belle gueule de fendant me plaisait tellement. On est restés ensemble pendant trois ans. Un moment donné, ya prit ses cliques et ses claques pis y s’est barré. » Ce départ imprévu, cette rupture silencieuse, t’a brisée. « Ouais, mais j’me suis dit que c’était moche de pleurer pour un mec. Les mecs, ça fait que passer dans la vie d’une femme, ça fait jamais de sur place, faut que ça fricote avec le plus de vagins possible. »

Et maintenant, Souny Durocher, tu es une serveuse qui se fait tripoter les fesses et une couturière assidue et talentueuse. « Ouais, j’aimerais bien m’ouvrir une boutique de vêtements, un ligne de vêtements mais… J’sais pas, j’ai pas d’éducation, pas de diplôme en design, pas d’argent pour investir dans ce rêve-là. Alors, je me contente d’imaginer. » Et puis, Souny, pourquoi avoir gardé le nom de famille de ta mère? « Parce que ça fait flipper les gens. Pis ça me rappelle d’où j’viens. »

Relations :

Les relations de Souny Durocher sont nombreuses. La jeune fille aime sortir, s’amuser, rencontrer des gens. D’abord, il y a sa mère, Sophie Durocher, avec qui elle partage une relation tendue puis son père et son frère, ces derniers elle les méprise. Souny joue dans une équipe sportive de rugby depuis son jeune âge, mais ce n’est rien de professionnel. Il serait inutile de faire la longue liste des anciens petits copains et amants de Souny. De plus, cette dernière fréquente régulièrement un centre sportif détenu par un Hybride, un vieil ami à elle.

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Comment avez-vous connu le forum ? : Beeeeen !
Commentaires : Zoli ^^
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Souny Durocher

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MessageSujet: Re: Souny Durocher   Souny Durocher Icon_minitimeDim 16 Mai - 22:01

La fiche est terminée Smile
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Raquel
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MessageSujet: Re: Souny Durocher   Souny Durocher Icon_minitimeDim 16 Mai - 22:22

Superbe. Smile
J'aime beaucoup le style que tu as utilisé Smile
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MessageSujet: Re: Souny Durocher   Souny Durocher Icon_minitime

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